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Nouveau Logo de Venise ROME, 14 fév (AFP) - Le maire de Venise Paolo Costa a présenté vendredi à Rome le nouveau logo de la cité des Doges, un lion ailé stylisé sur fond du V de la victoire, conçu par un graphiste français Mathieu Thibaut. M. Costa et le designer français Philippe Starck, membre du jury, ont expliqué que beaucoup de symboles auraient pu être choisis pour représenter Venise: une gondole, le pont du Rialto, les coupoles de Saint-Marc. |
"Mais
l'esprit de Venise, c'est le lion, qui symbolise la puissance", a déclaré
Philippe Starck. "Nous voulions un lion de face, qui regarde vers
le futur et le V de la victoire pour montrer tous les défis que la cité
doit relever". "L'idée de créer ce label officiel permettra
à la ville d'encaisser des royalties de la part des entreprises ou des
événements qui recevront l'autorisation de l'utiliser", a affirmé
M. Costa. |
Un Métro à Venise ? ROME, 3 jan (AFP) - ( de Martine sur le forum du 3 janvier 03) Un projet de métro-navette reliant Venise à la terre ferme et à son aéroport, en passant sous la lagune de la célèbre ville italienne a été présenté par la société locale de transports en commun, l'Actv, a rapporté vendredi la presse. Sa réalisation pour un prix chiffré à 250 millions d'euros environ est prévue pour 2009 ou 2010, mais le projet ne fait pas l'unanimité au conseil municipal et provoque déjà des polémiques avec les écologistes. L'ouvrage devra en effet entraîner le percement d'un tunnel de 8,3 kilomètres dans la couche d'argile compacte sur laquelle est construite Venise. "Y toucher peut avoir des effets désastreux", estime Giuseppe Rosa Salva, en rappelant que sous l'argile, se trouvent des nappes phréatiques mobiles avec les marées. "Les vérifications quant à l'impact sur l'environnement faites par la chambre de commerce de Venise sont toutes positives, sinon nous n'aurions même pas commencé le projet", rétorque le président de l'Actv, Walter Vanni, chef de file du consortium promoteur du projet. Le projet est de faire partir la navette de Tessera, l'aéroport de Venise, desservi actuellement par la route ou par bateau, pour rejoindre l'Arsenal en douze minutes en passant par l'île de Murano, célèbre pour ses verreries précieuses. La rame composée de trois wagons circulerait sept à huit fois toutes les heures sur une voie unique, précise le quotidien La Repubblica. Elle aurait une capacité de 13 millions de passagers à l'année, et le billet serait vendu 3 euros pour les Vénitiens et trois fois plus chers aux touristes, selon la même source. Les travaux pourraient démarrer au plus tôt en 2004 si le conseil municipal approuve le projet au printemps et si l'appel d'offre est lancé dans les temps. Il n'existe aucun projet concurrent de celui de l'Actv pour le moment. |
Venise prend un nouveau bain de pied ( de Martine sur le forum du 3 janvier 03) (PAPIER D'ANGLE) Par Kelly VELASQUEZ ROME, 3 jan (AFP) - Un cinquième de Venise prend un bain de pied en ce début d'année 2003 après avoir passé près de la moitié du mois de novembre les pieds dans l'eau en raison des "hautes eaux", un phénomène provoqué par les marées et le vent. Vendredi, les relevés de la municipalité, qui s'inquiète de la quasi-permanence du phénomène, donnaient une cote de 110 cm, loin cependant des 147 cm enregistrés le 16 novembre dernier, le cinquième plus haut niveau jamais atteint dans la cité des Doges. La célèbre place Saint Marc était quant à elle recouverte par 23 cm d'eau. La ville lagunaire avait connu son pire moment le 4 novembre 1966 lorsque elle avait été submergée par 194 cm d'eau. A l'époque, une série d'inondations avait frappé tout le nord de l'Italie. "Cet hiver a été une vrai calamité", affirme le maire de Venise, Paolo Costa. On enregistre le phénomène des hautes eaux pratiquement en continu, assure à la presse, chiffres à l'appui, le maire. Du 14 au 26 novembre dernier, les hautes eaux ont touché 500.000 m2 de la ville-monument, classée au patrimoine de l'humanité. Selon M. Costa, la barre des 80 cm a été dépassée dix fois, celle du mètre trois fois et en deux occasions les un mètre vingt. "Des chiffres sans précédents pour cette époque de l'année", ajoute-t-il. Aujourd'hui, Venise est partiellement sous l'eau plus de 200 jours par an contre sept jours en moyenne au début du XXe siècle. La ville du célèbre voyageur Marco Polo a été construite sur un groupe d'îles de la lagune de la mer Adriatique et de tout temps ses 90 églises byzantines et ses riches musées ont souffert des marées exceptionnelles. "Mais, un phénomène exceptionnel se transforme en phénomène normal et la vie de tous les jours est toujours plus difficile", se lamentent les commerçants comme les organismes de tourisme de Venise qui, chaque année, reçoit dix millions de touristes. Ils réclament des moyens et de l'argent pour que la ville ne soit pas submergée l'hiver par les eaux froides de l'Adriatique. Venise s'est enfoncée dans la lagune d'environ trente centimètres depuis le début du XXe siècle. Le développement industriel rapide des localités situées sur le rivage a en effet affaibli les systèmes naturels de protection. La lutte pour sauver Venise des eaux ne date pas d'hier. Déjà au XVIe siècle les dirigeants de la République vénitienne entreprirent de dévier deux rivières pour protéger la cité de "l'acqua alta". Après des années de débats, le gouvernement italien a débloqué fin novembre dernier 450 millions d'euros pour financer le projet "Moïse". Imaginé en 1984 par le consortium Venezia Nova, un groupe d'entreprises avec à leur tête Fiat, il prévoit de poser des digues mobiles au fond des trois passes de la lagune afin d'éviter les inondations. Les digues devraient se lever dès que les marées atteignent les 110 cm. Le projet coûtera à terme environ 3,5 milliards d'euros et les digues devraient être opérationnelles dans huit ans, selon les promoteurs du projet. Ses détracteurs, des associations italiennes de défense de l'environnement, affirment que le projet ne prend pas en compte le délicat équilibre du système écologique de la lagune. Elles estiment en outre qu'il coûtera 4 à 5 milliards d'euros et qu'il faudra plus de dix ans pour le rendre opérationnel. Ses organisations proposent comme solutions, moins coûteuses, l'interdiction du trafic des bateaux de croisière, des pétroliers et des cargos à l'intérieur de la lagune en construisant des quais à l'extérieur, la réduction de la pollution, la protection des zones les plus basses de la cité et des travaux de régulation de eaux. Préoccupée par les inondations, Venise n'en continue pas moins à faire des projets. Le dernier en date: un métro, qui pourrait voir le jour en 2010. kv-pc/dth eaf Sincèrement désolée d'avoir inondé a mon tour ce forum. Bonne année à tous. Martine Photos du Gazzettino : l'Acqua alta du 16 novembre 2002
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réouverture de la Fenice.. (de Martine sur le forum le 05/12/02)
Le
théâtre de la Fenice à Venise rouvrira le 14 décembre 2003 |
M. Costa, commissaire délégué à la reconstruction du théâtre et président de la Fondation Théâtre de la Fenice, a affirmé que les travaux se déroulaient conformément au calendrier prévu", a précisé sa mairie dans un communiqué. "Nous avons toutes les raisons de penser que le théâtre nous sera livré en novembre 2003 et que la réouverture au public interviendra le mois suivant", a-t-il ajouté. Le maire a précisé que la première semaine de spectacles, à partir du 14 décembre 2003, proposerait une série de concerts et de ballets. La saison d'opéras ne reprendra qu'à l'automne 2004. M. Costa se trouvait à Madrid pour remercier toutes les associations internationales qui ont contribué au financement de la reconstruction du théâtre de la Fenice. |
Moise
relancé selon AFP -
(de Martine sur le forum le 28/11/02) |
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C'est une belle journée pour tout le monde", a déclaré, visiblement satisfait, le président de la région Venetie, Giancarlo Galan. Le projet Moïse, imaginé en 1984, prévoit de poser des digues mobiles au fond des trois passes de la lagune afin d'éviter les inondations régulières à Venise L'objectif est de trouver une solution à "l'acqua alta", le phénomène des marées hautes à Venise, et les digues devraient se lever dès que les marées atteignent les 110 cm. Le projet coûtera à terme environ 3,5 milliards d'euros et les digues devraient être opérationnelles dans huit ans, selon les promoteurs du projet. Les détracteurs de ce projet, des associations italiennes de défense de l'environnement, estiment pour leur part que le projet coûtera 4 à 5 milliards d'euros et qu'il faudra plus de 10 ans pour le rendre opérationnel. Elles proposent à la place de ce projet l'interdiction du trafic des bateaux de croisière, des pétroliers et des cargos à l'interieur de la lagune en construisant des quais à l'extérieur, la réduction de la pollution, la protection des zones les plus basses de la cité et des travaux de régulation de eaux. Photos du Gazzettino : l'Acqua alta du 16 novembre 2002 |
Nouvelle
République TV hebdo, |
XVII ème
Marathon |
Dimanche
27 octobre, environ 6500 marathoniens prendront le départ de Stra, à
quelques km de Padova. |
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Comme
chaque année, ouverture du cinéma "all aperto" en plein air,
campo San Polo. |
Numéro
Hors-série de GEO "Pompiers
du monde" |
Article du 16 juin 02 : Traduction Chris Chantiers contre l’Acqua Alta En novembre, le premier chantier pour les travaux de défense contre l’acqua alta commencera sur l’île de San Marco. Il partira du Mole, sur les 150 mètres qui vont du pont della Paglia au pont de fer qui se trouve devant le siège de la Compagnie de voile, avec deux chantiers successifs de 75m chacun qui dureront six mois. |
Virginie |
Les interventions, au coût d’environ 7 millions d’euros, prévoient le re-haussement de la rive à 100m au-dessus du niveau moyen de la mer, mesurée à Punta della Salute pour arriver à 116m sur le dos d’âne où sont actuellement disposées les passerelles pour l’acqua alta entre la Paglia et les Procuratie Nuove , ainsi que la consolidation et la restauration des structures de maçonnerie existantes, la pose de quatre vannes pour permettre à l’eau de s’écouler à flots mais de ne pas entrer. Puis ce sera au tour du rio della Canonica puis du mur Est du Palazzo ducal et de la Basilique, de la zone de San Basso, du rio Dei giardinetti et de l’accès au bassin Orseolo, d’être assainis avant de décider du type d’intervention sur la Piazza. |
Le 25 mai 02 : Traduction de Chris
La
gondole & les gondoliers Avec une récente délibération du Conseil Communal, le premier acte pour actualiser un projet de l’Ente Gondola en chantier depuis des années, s’est enfin accompli. On a donc délibéré d’assigner l’espace pour le musée, à L’Ente Gondola, à l’intérieur du monumental complexe du XVIème siècle des Sts Cosma & Damiano récemment restauré, dont la façade donne sur la place du même nom sur l’île de la Giudecca Il s’agit d’une unique grande salle, dite « du caminetto » qui mesure plus de 500 m2. Le président de l’Ente gondola qui,a récolté ces dernières années avec ses collaborateurs plusieurs reliques actuellement accueillies dans les locaux de l’association près de la calle Mandola, est satisfait. Parmi ces reliques, un fer de proue de gondole du XVIIème, une porte de « felze » précieusement sculptée du XVIIIème, d’anciens uniformes de gondoliers et d’autres pièces d’une valeur artistique et historique considérable. Franco Vianello Moro, le président d’Ente Gondola ne cache pas sa satisfaction, pour la décision du Conseil Communal, néanmoins, il ne cache pas une certaine crainte à l’égard de la lenteur de la bureaucratie. |
Le 20 mai 02 : Traduction Chris Des fonds pour les restaurations mineures Non seulement des palais historiques mais aussi des bâtiments populaires, centres d’attention pour un plan de conservation du patrimoine. Des fonds pour les restaurations mineures. L’association Venice in Peril adopte une maison du XVIIème pour la récupérer à l’intention de quatre familles. La soi-disante architecture mineure à Venise, « l’autre 90 % » qui ne concerne pas les noble palais ou les espaces sacrés, mais de simples habitations souvent proches des demeures les plus illustres, a été l’argument de la table ronde organisée par l’association Venice in Peril à l’institut Vénète de sciences, lettres & arts au Palais Loredan sur le Campo Santo Stefano. Entre conservation et innovation, ce sont surtout les problèmes relatifs à la restauration des habitations populaires qui ont été pris en considération. Venice in Peril est l’une des trente associations privées qui, à la suite de l’alarme lancée par l’Unesco en 1966 après les inondations, soutient les institutions pour la sauvegarde de la ville. Dans les environs de San Giobbe, Venice in Peril a adopté une maison populaire du XVIIème (bien que les fondations remontent au XIIIème). La restauration terminée, l’habitation sera de nouveau à disposition de quatre familles vénitiennes. Un geste concret pour démontrer qu’il est non seulement possible de restaurer à des coûts assez contenus mais aussi que « la ville d’eau appartient au monde entier mais surtout aux vénitiens qui doivent être mis dans les conditions d’éviter la tentation de l’exode » souligne la présidente de Venice in Peril. èSur le sujet : Venise,guide de l’architecture mineure d’ Egle Renata Trincanato, dirigé par Renzo Salvadori, Canal éditions « les guides canal ». Venise inconnue illustrée par 160 jolis dessins d’édifices (la maison de tout le monde) dans le Castello et le Dorsoduro du 12ème au18ème. |
Samedi
11 mai 02 :
Traduction
Chris Le projet est ambitieux et suggestif : reconstruire le mythique et fascinant Bucintoro détruit par Napoléon. Une proposition alléchante pour honorer les anciens fastes de Venise. Le président des fêtes, Davino De Poli et Giovanni Scarpa Dini, chargé des études pour la reconstruction du Bucintoro, ont voulu faire connaître les résultats du projet qui pourraient ramener le célèbre vaisseau de la Sérénissime à sillonner de nouveau la lagune vénitienne. |
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Le Bucintoro peut renaître – a expliqué De Poli - il faut bien sûr des garanties précises. Il serait souhaitable que, en regard du travail de bénédictin d’un comité scientifique qui superviserait l’opération, il y ait la disponibilité de la Marine Militaire pour que le chantier de reconstruction du Bucintoro puisse être ouvert au public à l’intérieur de l’Arsenal. A la base de cet effort, on doit identifier non seulement les commanditaires de l’initiative mais aussi les types d’utilisation que l’on compte faire de cette embarcation qui, non seulement fait partie des gloires de Venise mais qui pourrait aussi devenir siège de représentation, musée sur l’eau, siège de congrès et centre d’activité culturelle, et même pourquoi pas un navire école pour quiconque veut sillonner la mer avec une embarcation.(…) Le coût de cette opération approcherait les 12 millions d’euros (…) Une proposition alléchante qu’a partagé aussi l’adjoint à la Culture & au Tourisme, Marino Cortese qui, tout en montrant l’intérêt de l’administration communale, a préféré être prudent « il est sûrement important d’impliquer toutes les institutions vénitiennes, mais nous devons néanmoins être attentif à ne pas tomber dans quelque chose qui tiendrait plus du parc de divertissement que d’une récupération de la mémoire historique ». |