La première de toutes les dames à Venise...la Vierge. Voici une série de Madonne...
Pouvez-vous les situer ?

Le blond vénitien ! A chacune sa recette, à chacune son résultat. Celle de Lucrèce Borgia était si parfaite, ses cheveux si éblouissants, qu’il n’hésita pas à voler dans un musée une de ses mèches exposée

Tel un décor de théâtre antique... Où peut bien se nicher cette étrange structure ?
"La ronde singulière de Balbo le maçon et de sa catin repentie"

Nombreuses sont les louanges adressées aux Vénitiennes. En voici cinq, et dans le désordre, leurs auteurs :   Arsène Houssaye  -  Arthur Young  -  Byron  -  Théophile Gautier  -  de Brosses.
Rendez à César ce qui appartient à César.

« Il faut bien qu’elles soient belles pour racheter la laideur de leur costume... »

« Elles ont encore de jolis visages, ces Vénitiennes, des yeux noirs, des sourcils arqués, une expression charmante... et lorsqu’on les voit appuyées sur leurs balcons, on les prendrait pour autant de Vénus du Titien... »

« Chaque fille du peuple a deux amants pareillement aimés : le soleil et le gondolier ; le règne de l’un commence quand l’autre achève le sien... »

« Ce qu’il y a de charmant surtout chez les Vénitiennes, c’est la nuque, l’attache du col et la naissance des épaules. On ne saurait rien imaginer de plus svelte, de plus élégant, de plus fin, de plus rond... »

« Ce n’est pas qu’on y trouve plus qu’ailleurs des beautés ravissantes, mais...elles ont toutes la taille et le teint beaux, la bouche grande et agréable, les dents blanches et bien rangées... »

Lu dans le journal viennois « Wiener Diarum » le 2 août 1741 :
« Liste des morts à Vienne. 28 juillet dans notre ville, le révérend Signor Antonius Vivaldi... à l’âge de 60 ans »
Le prêtre roux meurt étonnement dans la pauvreté et la solitude. Il est accompagné du ’glas simple’, celui réservé aux petites gens et aux personnes seules et sans famille. Six enfants de choeur accompagnent la dépouille de Vivaldi dont un enfant de neuf ans qui marquera la fin de son siècle.

Voici trois femmes dont le plus petit commun multiple est le titre de Princesse:
Marchesina, princesse de Roumanie, Felice Maria, princesse d'Antioche, Marie Bassegio, princesse de Sicile.
Belle brochette, n'est-il pas ? Mais savez-vous que ces trois femmes ont partagé une même expérience !?!

Le statut de Dogaresse : Marchesina épouse de Lorenzo Tiepolo(1268-1275),
Felice Maria épouse de Vitale II Michiel (1156-1172)
et Maria Bassegio 1ère épouse de Pietro Ziani(1205-1229)

Seuls les enfants issus de père et de mère patriciens peuvent accéder au Grand Conseil. C'est la loi.
Mon mari est patricien. Moi, sa tendre moitié, je ne le suis pas. Malgré ma non-appartenance au Patriciat, mon fils chéri, si Dieu lui donne vie, fera cependant un jour partie du Grand Conseil.  

Il était d'usage au XVIII que la femme mariée soit flanquée d'un gigolo, n'ayons pas peur des termes, le sigisbée ! Que le mari le veuille ou non, c'était une question de bonne réputation.
Roberto, bien que fort jaloux, pour suivre la mode, se voit contraint d'offrir un chevalier servant à son épouse.
Cette burlesque situation est reprise non sans humour dans une pièce du célèbre Molière Vénitien.

Certains prétendent que le substantif MARIONNETTE trouverait son origine dans les changements apportés à une grande fête vénitienne.

Fête des Marie, jeunes femmes pauvres dotées par la République pour se marier, finalement remplacées par des statues de bois-Marie di legno, Marione- suite aux débordements de plus en plus grivois qu'inspirait cette fête religieuse.

La célèbre ballerine russe Maria Taglioni et le baron Girgio Franchetti ont certes des goûts bien différents en matière d'art. Pourtant un point précis les unit.