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Ouvrages présentés sur cette page
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La fête à Venise

Ca' Dario

Les agents secrets de Venise

 

La Venise des Doges

Napoléon et Venise

Stabat Mater

Tous les salauds ne sont pas de Vienne

 

 

Éditions :Folio

La fête à Venise

Philippe Sollers

 

 

Présentation de l'éditeur : 

Que fait au juste Pierre Froissart, écrivain clandestin, l'été, dans un petit palais de Venise ? Pourquoi est-il accompagné de cette jeune physicienne américaine, Luz, avec laquelle il a l'air de si bien s'entendre ? Activités illégales ? Drogue ? Trafic d'œuvres d'art ? Mais quel est alors le réseau international qui l'emploie, lui et certains de ses anciens amis ? Et que représente au fond cette toile de Watteau qu'il doit acheminer vers son but secret ; cette peinture célèbre et recherchée qui donne son nom au roman et l'entraîne peu à peu, comme d'elle-même, dans une révélation de l'Histoire ?

 

 

Lu

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SVP dites moi .en toute sincérité...qui parmi vous est parvenu à lire plus de dix pages de " La fête à Venise "de Philippe Sollers...ne craignez rien , j'ai passé l'âge de me faire hara kiri Very Happy Very Happy Very Happy Very Happy Very Happy Very Happy
Danielle sur le forum le 23/03/11

Moi... je me suis rendue à en croire mon marque-page, à la page 46... et j'ai calé.
Je viens de recevoir son dernier qui se passe aussi en partie à Venise, on verra jusqu'où je me rendrai...
Livia sur le forum le 02/04/11

j'ai essayé deux fois et rien à faire, je l'ai "donné" sur un banc public Twisted Evil Twisted Evil Twisted Evil
Monteverdi sur le forum le 02/04/11

Régulièrement, je me suis assoupi.
Pensez un peu.
Le tarif du bourreau à la Martinique en 1740.
Les synonymes du sexe féminin et des verbes pour leur action.
Les galaxies d’Urbain Le Verrier, et les autres très nombreuses pages que j’ai à présent oubliées.
Sans compter celles perdues pour enfin accéder à cette Toilette intime !

Mais régulièrement aussi, un mot, une rencontre soudaine m’ont charmé : les Zaterre, Warhol, le vapo 52, Cavaillès, la Giudecca, Montesquiou, les murs roses de San Michele, Stendhal, les perroquets de Lousse et Flaubert. Watteau, bien sûr.
Et finalement le merveilleux hommage de Luigi d’Hadria pour Luigi Mocenigo…
Une ou deux pages rébarbatives, par ici, par là ...
Mais bon, tout de même!

Stef* sur le forum le 04/05/11

Pas "lu" (comme on pourrait l'entendre généralement), mais "grignoté". Comme cela n'a ni queue ni tête, j'ai lu un peu par-ci, un peu par-là. De cette manière, j'ai du lire une centaine de pages... disons 98 et 2/3
Un peu pareil avec "le dictionnaire amoureux" (et le pire, c'est que je l'ai aussi offert à ma sœur)...
Olia & Klod sur le forum le 04/05/11

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Éditions :
Les Belles Lettres

Ca' Dario
La malédiction d'un palais vénitien

Jean-Paul Bourre

Présentation de l'éditeur : 

Si les murs de la Ca'Dario pouvaient parler, ils hurleraient.
Derrière les façades aux couleurs de friandises, la jeune Marietta Barbaro, emmurée, s'est consumée de chagrin, l'historien Rawdon Brown s'est donné la mort face à ses tableaux, Kit Lambert, le manager des Who, s'est perdu dans les fêtes et les drogues... la liste est longue, et sanglante, des propriétaires morts de façon tragique dans ce petit palais penché sur le Grand Canal. Elle faillit s'achever par Woody Allen, si celui-ci, prudent, n'avait au dernier moment renoncé à son achat.
Amoureux de Venise, Jean-Paul Bourre a exhumé les bibliothèques de la Sérénissime pour raconter, sous la forme d'une enquête, l'histoire fantastique de ce bâtiment maudit, construit au XVe siècle sur un ossuaire et dont la devise, gravée dans le marbre du frontispice, nous dit, en anagramme « Celui qui habitera ces lieux ira à sa ruine ».

Lu

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Evil or Very Mad

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Un peu déçu, à mon avis, beaucoup de cas fait aux Templiers et à la Kabbale sans jamais apporter l'ombre du premier soupçon de preuve de quoi que ce soit.
C'est bien raconté, des "histoires" telles qu'on les aimes dans les livres sur les "Comtes et Légendes de Venise", mais pour lesquelles le lien avec la Ca' Dario est un peu tiré par les cheveux.
Le dernier chapitre est exclusivement consacré au Tarot de Venise (quel rapport avec le palazzo Dario ???) dont l'auteur nous décrit toutes les lames.

Beaucoup de spéculation, mais pas l'ombre d'une explication rationnelle.
Ceux qui ont à peine entendu parler de la Ca' Dario vont rêver au Palais maudit, les membres du Campiello, plus au fait de l'histoire risquent de rester sur leur faim.

Olia & Klod sur le forum le 28/06/11

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Éditions :Le Promeneur

Les agents secrets de Venise

Giovanni Comisso

Présentation de l'éditeur : 

Lu

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Evil or Very Mad

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Ce livre de Giovanni Comisso , rédigé à partir des archives Vénitiennes , reprends des extraits de lettres de délateurs ( dont Casanova) transmises au Conseil des Dix. Ecrit avant 1940, il fut censuré sous Mussolini, une première traduction en 1944 avait respecté la censure, celle-ci date de 1990 et reprends le texte intégral.
Toute la vie de Venise au XVIIIème siècle, ses ragots, ses potins... Quelle ambiance!

Alain sur le forum le 20/01/11

Elle est nouvelle cette version ? Moi j'ai une version éditée par le Promeneur de 1990.
J'ai trouvé ça rigolo à lire et instructif sur certains points.
En revanche, la vie à Venise devait être un peu pénible par moment pour certain. Pas facile de penser que le moindre éternuement pouvait être rapporté selon le bon vouloir des observateurs cachés.
Encore en avance sur son temps Venise ... Big brother is watching you !!! Smile
Tintoretto sur le forum le 20/01/11

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Pygmalion

La Venise des Doges

Amable de Fournoux

Présentation de l'éditeur : 

En plus de mille ans d'Histoire, cent-vingt doges ont participé à la gloire de Venise.
Si tous n'ont pas pesé du même poids sur les destinées de cette étrange République, quelques fortes personnalités l'ont menée au sommet de la civilisation. Contrairement à la légende, leur vie n'était pas des plus tranquilles. Quand meurt assassiné, en 1172, Vitale Il Michiel, trente-huit de ces princes ont déjà régné sur les lagunes mais dix-huit seulement sont morts dans leur lit ducal: cinq ont abdiqué, cinq ont été exilés ou déposés, trois bannis avec les yeux crevés, cinq proprement massacrés et deux sont morts au combat! Ce livre conte le destin extraordinaire des seize doges qui ont le plus marqué leur époque par leurs faits d'armes sur les champs de bataille, leur habileté politique, la distinction de leur esprit, la fermeté de leur foi ou, plus prosaïquement, leur ambition démesurée et leurs sombres complots.
À travers ces hommes hors du commun, défile toute l'Histoire de la République du Lion avec, en arrière-plan, les bonnes fortunes, les conquêtes, le tourbillon des fêtes mais aussi les revers douloureux, les déroutes, les calamités naturelles. Protégée par ses lagunes, sans cesse en avance sur son temps, dotée d'un système politique jalousé mais jamais égalé, surdouée pour les arts, elle nous a laissé intact, grâce au génie de ses capitaines et de ses diplomates, son incomparable patrimoine.

Lu

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Evil or Very Mad

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Amable de Fournoux reste fidèle aux têtes couronnées.
Après son empereur (Napoléon et Venise), après sa reine (Caterina, reine de Chypre),
voici qu'il décortique le destin de seize doges: Ordelo Falier, Ziani, Dandolo, l'inévitable Marino Falier, Foscari...
Bref, que du beau monde ! Very Happy Very Happy
Une dizaine de vers de Byron en prélude, et un abrégé des 120 doges en annexe.
J'espère tout de même qu'il ne va pas me casser la baraque et dévoiler certaines réponses au Rallye ! Evil or Very Mad Evil or Very Mad Evil or Very Mad Very Happy Wink

Un bon moment de lecture en perspective...

Stef* sur le forum le 10/11/09

J'ai déjà passé un bon moment à repasser l'histoire de Venise à travers celle de ses doges et plus particulièrement de ceux qui ont le plus laissé leurs marques.
Lecture vraiment agréable mais aussi érudite. Wink
Vera da Pozzo sur le forum le 15/11/09

 

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Editions de Fallois

Napoléon et Venise

Amable de Fournoux

Description de l'éditeur en 4ème de couverture :

Napoléon et Venise : la chute de la Sérénissime République a été racontée bien souvent.
Mais la liaison forcée entre Napoléon et Venise ne s'arrête pas à ces prémices.
Elle se prolonge tout au long de la prodigieuse épopée de l'Aigle, dans un chaos d'événements qui vont bouleverser la carte de l'Europe, et singulièrement celle de l'Italie.
Aucun livre n'avait jusqu'à présent relaté l'étroite et étrange relation qui, de 1796 à 1814, s'est établie entre le conquérant le plus célèbre de toute l'Histoire moderne et la ville la plus célébrée dans toutes les littératures.
En cédant, après l'avoir trahie et dépouillée, la vieille dame des lagunes à l'Autriche qui en rêvait depuis toujours, Bonaparte ouvrait la route de la fortune à Napoléon.
Ce forfait allait salir durablement sa gloire.
Devenu président de la première République italienne, empereur des Français, il n'aura de cesse de coiffer la couronne de fer des rois lombards pour racheter sa faute et régner sur cette Italie dont Venise était le joyau.
Venise " napoléonisée ", c'est aussi une page mal connue de cette histoire que la légende a quelque peu escamotée.
Malgré une visite réussie dans la Cité des Doges et de sérieuses réformes pour la sauver de la ruine, l'aventure se solda par un échec cuisant et le rejet complet de la présence française.
" Je serai un Attila pour Venise ", la terrible menace prononcée par le général en chef de l'armée d'Italie en 1797 était décidément prophétique.
L'Aigle et le Lion n'ont jamais fait bon ménage.

Lu

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Evil or Very Mad

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C'est un sacré pavé de presque 400 pages, un peu dur à avaler tellement c'est dense (surtout quand on aime pas beaucoup le petit général Bonaparte - ben oui, avec des morts dans les deux camps - français et russe - il a laissé des traces impérissables dans la famille, même si cela nous vaut une belle collection de médailles)...

Pour celles et ceux qui ne savent pas lire, il y a 16 pages d'illustrations en couleurs - pas mal.

Le contenu est un peu trop à la gloire du "Libérateur de l'Europe" à notre goût, et montre le peuple de Venise avec le regard du Corse : comme un peuple de pleutres dégénérés.

La première partie du livre "Bonaparte contre Venise"
Parle de la conquête, des petits et gros mensonges du général pour parvenir à ses fins, mettre à genoux la puissante Sérénissime.
C'est très documenté, et du point de vue historique, très complet, mais avec une vision exclusivement fronco française.

La seconde partie "Napoléon Roi de Venise"
Nous narre les changements imposés par l'Empereur à la ville, les fastes de sa visite, jusqu'à "la chute" : Venise livrée aux autrichiens et les français détestés.

C'est un livre utile pour fixer avec précision des éléments historiques, mais un peu lourd à digérer tant sur le plan du style de l'écriture que de la masse d'informations, très riche. De belles cartes en fin de livre sont très explicites.
Olia & Klod sur le forum le 15/07/11

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Christian Bourgeois

Stabat Mater

Tiziano Scarpa

Cecilia vit depuis toujours dans l'orphelinat abrité par l'hospice de la Piétà, à Venise, où elle a été recueillie à sa naissance, quand sa mère l'a abandonnée.
Elle y mène une vie rangée, partagée entre la routine rigoureuse du pensionnat et la musique : chaque jour, elle joue du violon à l'église, derrière un grillage qui la maintient à l'écart du regard des fidèles. Chaque nuit en revanche, en proie au poids d'une insoutenable solitude, elle ressent plus que jamais le manque de cette mère qu'elle n'a jamais connue. Aussi se relève-t-elle en cachette pour lui écrire des lettres qu'elle aimerait lui voir lire.
C'est dans cet univers confiné et reclus que Cecilia évolue. La musique est sa seule source de joie et de réconfort, le seul moment qui lui permet si ce n'est d'échapper, du moins de supporter la rigidité des règles de l'internat. Mais un jour, l'année de ses seize ans, les choses changent. De façon imperceptible d'abord, tandis que Cecilia s'interroge toujours plus sur ses origines et souhaite donner une autre dimension à sa pratique artistique, puis de façon plus radicale, lorsqu'un nouveau professeur de musique vient remplacer le vieil abbé besogneux qui officiait auparavant : ce jeune prêtre aux cheveux roux n'est autre qu'Antonio Vivaldi Au fil de ce roman bâti comme une enquête par invocations, un petit pan du mystère est levé.
Cependant, l'essentiel ne réside pas dans la vérité qu'elle peut obtenir sur l'autre (l'identité et les motivations de la mère absente). C'est plutôt en elle-même que Cecilia doit chercher de nouvelles ressources. Cecilia perce peu à peu le brouillard des évidences qu'on lui a imposées, les limites du moule où l'on voudrait qu'elle reste comme toutes les autres. Elle se débarrasse enfin de cette fascination morbide, qu'elle prenait pour une forme de liberté, qui la poussait à rechercher sa mère avec obstination.
Elle prend en effet progressivement conscience que cette quête n'aura été pour elle qu'une étape nécessaire et échappe progressivement à la folie qui la guettait. Sa rencontre avec Vivaldi est fondatrice : l'arrachant définitivement aux noirceurs de ses pensées, elle confirme sa vocation et la plonge de façon définitive dans la vie où elle va pouvoir s'adonner entièrement à sa passion musicale. Poignant, le destin de Cecilia est aussi emblématique du parcours de nombreuses jeunes filles éduquées à l'hospice de la Pietà où a effectivement exercé Vivaldi au début de sa carrière, y construisant sa réputation.
La maîtrise instrumentale des musiciennes de la Pietà était renommée à travers toute l'Europe. Vivaldi a composé nombre de concertos et de pièces de musique sacrée qu'elles ont interprétés brillamment. Tiziano Scarpa étant lui-même né dans cet hospice un temps reconverti en maternité au XXe siècle, a bâti cette fiction qui est tout autant une enquête en forme de retour aux sources qu'un hommage au compositeur de génie qu'il admire depuis son enfance, ainsi qu'à ses brillantes
interprètes.

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Evil or Very Mad

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mais.... Shocked
Je ne voudrais pas faire la rabat joie, mais il me semble que c'est encore le même thème que le livre de Laurel Corona "Les 4 saisons" (2008) ...
ainsi que celui de Françoise Cruz "Eaux lentes sur Venise" sorti en janvier 2011 ...Confused
Zen sur le forum le 23/03/11

On nous l'avait offert en 2009, avant que Tiziano Scarpa ne reçoive le prix Strega.
Même si on retrouve le thème des orchestres d'orphelines à la Pietà, celui-ci est surtout poignant par l'impossible correspondance que cette enfant essaye d'établir avec sa mère, et sa découverte de la vie extérieure.
Bref, on a bien aimé aussi! Very Happy
Véronique & Franco sur le forum le 23/03/11

je n'ai pas lu les autres livres Zen et celui-ci je l'ai reçu ce matin...je l'ai parcouru en diagonale... Very Happy Very Happy Very Happy Very Happy je sens que je vais bien l'aimer aussi..
Danielle sur le forum le 23/03/11

Je viens de lire ce récit étonnant qui ressemble assez peu aux ouvrages allègres de Scarpa.

Il se divise en deux parties dont la première est la plus poignante. Elle développe le dialogue impossible d'une orpheline avec sa mère qu'elle aime et qu'elle hait en même temps. Mais au delà de cela c'est le drame de la condition humaine qu'aborde Scarpa, la naissance et la mort, l'absurdité et le néant de l'existence, parfois même avec des images presque insoutenables tant elles sont douloureuses voire choquantes.

Et puis c'est la rencontre avec Vivaldi et une merveilleuse, une magnifique interprétation de ses œuvres. L'existence a donc quand même du sens puisque la création vient la sauver.

Un très beau récit, extrêmement touchant, qu'on lit avec beaucoup d'émotion!
Blandine sur le forum le 23/03/11

 

Calaman-Levy

 

Tous les salauds ne sont pas de Vienne

Andrea Molesini

Une fresque magistrale, fable mélancolique sur les héros et leurs illusions.

Novembre 1917. L’armée italienne recule face à l’offensive autrichienne. À un jet de pierres du Piave, non loin de Venise, le domaine des Spada est réquisitionné par l’ennemi. Les vaincus ne discutent pas, nous sommes entre gens de bonne compagnie. Mais le viol de jeunes villageoises suscitera chez tous les membres de la Villa Spada un sursaut patriotique : Paolo, dix-sept ans, le narrateur de cette histoire ; le grand-père original et désabusé qui s’exprime par aphorismes et son épouse, grande dame qui oppose le mur de son mépris à l’occupant ; Teresa, la fidèle cuisinière, et sa fille, la jolie et simplette Loretta ; le gardien du domaine, l’énigmatique Renato ; la tante Maria, belle femme émancipée ; et enfi n la flamboyante Giulia, dont la beauté provocante fascine le jeune Paolo.

Au fil de la chronique de cette occupation, avec son lot de vexations, d’outrages et de compromissions, se dessine un formidable portrait de famille, annonçant l’avènement d’un des plus grands écrivains italiens contemporains..

 

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Evil or Very Mad

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Une écriture fluide, agréable, un roman dont les personnages ne sont pas des coquilles vides. Il y a dans ce roman sur fond de guerre et d’occupation, comme dans le « Guépard », la description de la fin d’un monde, celui des bonnes manières, de la courtoisie, de la soi-disant « guerre en dentelles ».
Monde auquel appartiennent aussi bien les Spada que l’officier autrichien occupant leur domaine.
Description sans nostalgie sans appuyer, un constat :
“The Times They are a Changing”

Coincidence ? je l’ai lu au bord d’un lac italien Razz   Jas sur le forum 19/10/16

 

 

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