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Texte tiré du livre de : Patrice Goré

Mi dispiaze sa ma non go visto nessun

Sur le Campo Santa Margherita, nous refaisons l'itinéraire de la veille. Nous nous arrêtons chez le marchand de journaux chez qui le Maestro et son épouse ont acheté des cartes postales. Mais le marchand n'a rien vu.

 Nous continuons par le marchand de vin chez qui l'on vient remplir ses bouteilles d'eau vides par du vin du continent, rosé qui vous tourne la tête, rouge qui vous emplit le palais. Il se souvient que, dans l'après-midi, un de ses clients feuilletait un livre ou une brochure, et qu'il l'a vu le glisser dans la poche de son uniforme.

flûte ! .. on ne voit pas le puits .. heureusement que Jas n'est pas le seul à avoir un plan interactif
Photos Edda      

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