Le livre disparu Texte
tiré du livre de : Patrice Goré |
Ca
y est enfin, j'arrive à Venise. Verona, Vicenza, Padova, Mestre. Mestre, c'est pas beau. Et maintenant la lagune à droite, à gauche, ouf ! |
Les cheminées, les usines qui s'éloignent sur la côte, les bricoles, des coupoles, des campaniles qui pointent dans le ciel réveillé. Les
voyageurs récupèrent leurs valises, tu parles d'une gymnastique ! Les
sacs s'entassent dans le couloir avec les gens. Nous, nous avons rendez-vous avec le Maestro et son épouse, Dorsoduro, calle della Madonna. |